Une première journée sur le terrain pendant le congrès ANCOVART à Lyon, direction le quartier du Vieux-Lyon. Une occasion de déambuler dans les rues anciennes et découvrir les fameuses « traboules ». Rendez-vous aux pieds de la primatiale Saint-Jean pour démarrer notre découverte. Notre collègue guide nous a donné quelques informations générales sur l’histoire de la ville.
Elle prendrait naissance pendant la période antique, un an après la mort de Jules César, par un de ses anciens lieutenants. Les vétérans de l’armée ont probablement été expulsés par les habitants de Vienne. A ces vétérans, il a été donné des terres à Lugdunum sur l’ancien oppidum gaulois.
La colline de la Fourvière, lieu incontournable de la ville correspond probablement à ce vieux forum parce que des fondations importantes ont été trouvés impliquant la présence d’un bâtiment public. C’est à partir de la fin du 3e siècle, que les habitants commencent à descendre de la colline pour investir les terrains le long de la Saône. Le méandre accueillera ainsi les nouvelles habitations et cela signe par la même occasion l’apparition des traboules (dont on parlera un peu plus tard 😉).
La primatiale (siège du primat, c’est un titre honorifique conféré à un prélat, qui lui reconnaît la primauté sur tous les dignitaires d’une région, d’un pays, d’une Église.) Saint-Jean correspond au quartier des chanoines. Pour la construction, comme tout bâtiment, les différentes parties de celui-ci se réalisent au fur et à mesure. Elle est commencée au 12e siècle, c’est un édifice gothique qui a été élevé à partir d’une abside romane. La façade principale est composée de deux tours et d’un pignon central. Les lignes horizontales de cette façade sont mises en valeur par les gâbles (panneaux triangulaires au-dessus des portails) ainsi que le pignon central évoqué précédemment. Au niveau des trois portails se trouvaient des statues mais qui ont été détruites pendant les Guerres de Religion.

Une fois entré à l’intérieur de l’édifice, nous notons l’absence de déambulatoire (couloir de circulation installée autour du chœur), qui est une caractéristique des églises lyonnaises. L’unité gothique est visible avec la nef composée de voûtes d’ogives sexpartites qui retombent sur de fines colonnes engagées.




La frise visible dans le chœur est identique à celle que nous pouvons retrouver dans la cathédrale Saint-Étienne de Vienne : elle est composée de bas-reliefs, le plâtre et la brique pilées sont utilisés pour combler les espaces. L’influence pour les décors est d’origine romaine avec les pilastres supportant la frise. L’Antiquité se fait encore sentir avec les dalles de marbres qui proviennent de monuments romains.


Les vitraux situés dans le chieur sont du 13e siècle mais on été très restaurés au 19e siècle. Concernant les roses, elles sont principalement du 13e siècle sauf celle de la façade qui est des années 1470 avec Jean Nivelle comme maître-verrier. Le vitrail le plus ancien du monument est celui de la chapelle Saint-Jean, datant de la fin du 12e siècle. Quant aux plus récents, ils datent de 2011 et ont été réalisés par l’atelier Jean Mône (atelier local labellisé Monument historiques).
Vous connaissez mon amour pour l’art gothique, eh bien j’ai été servi avec la chapelle des fonds baptismaux, qui est l’ancienne chapelle funéraire de Charles de Bourbon, archevêque de Lyon au 15e siècle. Elle est commencée en 1486 et achevée en 1508 par les soins de son frère Pierre, duc de Bourbon, comte du Forez er souverain des Dombes. Dans le décor ont y retrouve en plus de la dentelle gothique, le chiffre et le dextrochère (un dextrochère est un bracelet que les Romains et les Romaines portaient au poignet droit [en latin dextra, « droite »]. En héraldique, un dextrochère est un bras droit représenté plus ou moins vêtu, tenant le plus souvent une épée) de Charles de Bourbon qui alterne avec les monogrammes de Pierre de Bourbon et d’Anne de France, ainsi que la devise « N’espoir ne peur » et le cerf ailé. Voici quelques photos de ce décor gothique flamboyant.





Le territoire de Lyon est à la croisée des influences au fil des époques, et notamment elle se trouve à la frontière entre le Saint Empire romain germanique et le royaume de France.
Deux conciles se dérouleront à Lyon :
- Le premier concile se déroule entre le 26 juin et le 17 juillet 1245. Il s’agit du 13e concile œcuménique (c’est-à-dire universel) catholique, convoqué par le pape Innocent IV. Son principal objectif est la déposition de l’empereur Frédéric II dans le cadre de la lutte entre l’empereur du Saint Empire et la papauté (relations entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel)
- Le deuxième concile a eu lieu en plusieurs sessions en 1274, entre mai et juillet. Trois sujets sont à l’ordre du jour de ce 14e concile : la conquête de la Terre Sainte, l’élection pontificale et l’unification des Églises d’Orient et d’Occident.
Le pape d’Avignon Jean XXII est consacré ici dans la primatiale alors qu’en 1600, ont lieu les noces d’Henri IV qui épouse en secondes noces Marie de Médicis.
Dernier événement et non des moindre parce qu’il faut une concordance de date. Il s’agit des fêtes du 6e Grand Pardon en 1943. C’est une fête qui a lieu environ une fois par siècle, lorsque la Fête-Dieu tombe le 24 juin, jour de la Saint-Jean-Baptiste, titulaire de l’église.
Au 14e siècle, Lyon devient française et a lieu le concile de Vienne en 1311-1312 qui aboutit à la suppression de l’ordre des Templiers.
Quittons la place Saint-Jean pour se rendre dans la rue du même nom. Ce qui nous permet de passer à côté de l’hôtel de la Chamarerie. Le chamarier est le responsable de la surveillance. Cela lui permet d’avoir un œil sur la quartier des chanoines et de la primatiale. Le monument fut édifié au 16e siècle, mais la façade a été remaniée au 19e siècle avec un décor gothique.

Il est grand temps de déambuler dans les rues du Vieux-Lyon et d’y découvrir les fameuses traboules dont tout le monde parle, élément incontournable de la ville. Si vous n’avez pas trouboulé, vous n’avez pas visité Lyon 😉 C’est aussi le moyen de préciser que nous avons pris un raccourci.

Mais alors qu’est ce qu’une traboule ?
Cela vient du latin « trans amubulare » qui signifie circuler à travers. Faute de place pour aménager un réseau de rues, les traboules sont des passages perpendiculaires à la Saône et qui relient les différents immeubles. Ces passages sont souvent voûtés d’ogives ou ornées d’un plafond à la française (plafond avec des poutres apparentes appelées solives) et qui donnent sur des cours intérieures avec des galeries de style Renaissance.
On en compte pas moins de 300 dans la ville qui se répartissent dans ce quartier, dans celui de la Croix-Rouse ou en encore sur la presqu’île.
La tour des escaliers dans les traboules dépassent toujours les toits. Il peut aussi y avoir un belvédère qui est une ouverture sans fenêtre et qui est un point de surveillance. Quand plusieurs belvédères sont édifiés, cela montre la richesse.





Concernant la circulation dans les immeubles lyonnais, elle est surtout verticale c’est ainsi pour cela que les immeubles ont entre quatre et cinq étages. L’escalier est donc un élément important. Il est souvent à vis et en pierre pour les plus fortunés. Cela entraîne aussi une fiscalité différente du quartier avec les maisons basses.
Dans notre découverte patrimoniale, nous avons fait un arrêt gourmand pour évoquer les spécialités de la ville.
Il y a les fameuses pralines, indispensables pour tous les gourmands.
Cette gourmandise emblématique est composée d’amandes soigneusement sélectionnées, enrobées d’un délicat caramel rose, lui conférant un goût sucré et une texture croquante irrésistibles. Mais d’où vient cette friandise ? Comment la préparer ? Et comment la déguster ? Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur la praline rose de Lyon en suivant ce lien : https://confiserie-plantagenet.fr/presentation-dune-confiserie/la-praline-rose-de-lyon-histoire-recette-et-specialite/


Nous avons pu également en apprendre un peu plus sur le coussin, la quenelle et le cocon de Lyon. Mais qu’est ce que tout cela. Pas de panique, voici quelques informations glanées lorsque que j’ai fait quelques achats pour rapporter des spécialités dans les Hauts-de-France 😊
Voici la petite histoire du coussin de Lyon :
« Laissez-vous conter l’histoire du Coussin de Lyon. Elle est née d’une lointaine tradition lyonnaise. En l’an 1643, une terrible épidémie de peste ravageait la cité et pour la combattre les échevins lyonnais firent le vœu de se rendre en procession sur la colline de Fourvière où l’on allait déjà prier la Vierge, et de remettre un cierge de sept livres de cire et un écu d’or sur un coussin de soie. Chaque année depuis lors les Magistrats de Lyon renouvellent le vœu des échevins en se rendant à Fourvière tandis que retentissent les trois coups de canon annonçant que le vœu a été respecté. C’est ce coussin de soierie qui a inspiré la création du Coussin de Lyon. En 1960, a été réalisé un boitage rappelant la forme et l’allure du Coussin de Soie historique ainsi qu’une spécialité composée de riche cacao, de liqueur de curaçao discrètement parfumée et de belles amandes délicatement blanchies, qui devint le Coussin de Lyon. »
Et voici pour le cocon de Lyon : en 1952, le maire de la ville, Édouard Herriot, demande au meilleur ouvrier de France, Jean Auberger de créer une véritable spécialité lyonnaise. En hommage à la renommée de Lyon pour avoir été la capitale de la soie du 17ème au 19ème siècle et aux ouvriers de la soie, nommés les canuts, Jean Auberger décide de créer une spécialité qui reprendrait la forme et la couleur du cocon. C’est ainsi que les cocons de Lyon sont apparus ! Les cocons sont des pâtes d’amande assez fines, moelleuses et de couleur jaune garnies de pralinés aux noisettes, d’orangeats et de liqueur de Curaçao. Les cocons sont candis dans le sucre pendant 24h rendant ainsi le bonbon scintillant avec ses éclats de sucre.
Voici un lien pour avoir un audio sur ces deux gourmandises : https://www.youtube.com/watch?v=u0ZVUaMYEC0
Et vous pouvez également retrouver toutes les spécialités ici pour offrir ou pou vous 😉 : https://www.violette-berlingot.com/categorie-produit/specialites-lyonnaises/
Et enfin la quenelle ! Vous connaissez sûrement la version salée, mais la sucrée ? Voici la petite histoire. La Quenelle de Lyon a un ancêtre fameux : la quenelle de brochet aux écrevisses et aux truffes. Cette recette apparut au XVIIIe siècle, fut célébrée par Brillat-Savarin, illustre gastronome français. Inspiré par la forme et la renommée de cette fameuse Quenelle, Voisin en fit une de ses spécialités chocolatières. Elle est faite d’un délicieux praliné recouvert d’un nappage de chocolat blanc. Des éclats de café Moka disséminés dans le chocolat. Et la Quenelle devient truffée.

Après avoir bien utilisé son imagination avec les gourmandises, nous avons oublié d’évoquer un personnage incontournable de la ville. Qui est-ce à votre avis ?
Je veux bien évidement parler de Guignol 😊
Mais qui est-il véritablement ? Il incarne le petit peuple de Lyon, le canut (insultant au 19e siècle d’utiliser ce mot). Il porte un calot de cuir du 17e siècle, celui porté par les tisserands de soie (nous en reparlerons avec la visite du quartier de la Croix-Rousse dans un prochain article). C’est un personnage important représentant la culture régionale au point qu’il est présent à la Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterêts aux côtés des autres figures régionales (voici le lien vers l’article : https://danslespasdececile.blog/2024/05/26/francois-ier-moliere-et-compagnie-et-la-langue-francaise-toute-une-histoire/ )
Mais nous le connaissons surtout par le biais du théâtre. Au départ, c’est un théâtre d’improvisation donc sans écrits. La censure demande à pouvoir lire les dialogues par la suite, et c’est ainsi que les pièces nous sont parvenues.

« L’horloge Charvet dite « Horloge aux Guignols » est construite à partir de 1864 par Louis Charvet. « Horloger de la Ville », cette étonnante horloge à grande sonnerie et à jacquemarts actionne cinq automates. Tous les quarts d’heure, Arlequin et Polichinelle, personnage de la Commedia dell’Arte, font sonner quatre cloches de bronze doré, tandis que Gnafron et Guignol armé de sa tavelle, frappent sur la grosse cloche. A chaque heure, c’est le « Trompette » qui s’anime pour annoncer la grande sonnerie. Véritable trésor du patrimoine mécanique et théâtral lyonnais, ce carillon témoigne des savoir-faire à la fois traditionnels et novateurs de la Maison Charvet au 19e siècle. Initialement installée au 8 rue de la Poulaillerie à Lyon é2, l’Horloge a été acquise par la ville de Lyon en 2012. Après six mois de restauration, elle a été déplacée sur la façade de l’hôtel Gadagne début 2021. »
Gadagne, c’est d’abord un nom : celui des puissants banquiers florentins (les Guadagni) qui occupèrent, de 1535 à 1581, les bâtiments formant aujourd’hui le plus vaste ensemble de style Renaissance du Vieux-Lyon. Depuis 2009, l’hôtel accueille le musée d’Histoire de Lyon et celui des Marionnettes de monde.


Encore quelques déambulations dans les rues lyonnaises avant d’arriver à la place du Change qui est notre point de chute avant la pause repas.



A l’origine, place de la Draperie, la place fut fréquentée, aux 15e et 16e siècle, par les changeurs de monnaie.
La loge du Change est pour une grande partie l’œuvre de l’architecte Soufflot qui transforma l’édifice d’origine de 1747 à 1750. Nous pouvons noter la présence de colonnes engagées à l’étage qui sont surmontées par des chapiteaux ioniques avec des entablements sculptés. Depuis 1803, le bâtiment est affecté au culte de l’Église réformée.
Deux foires annuelles exonérées des taxes royales pour attirer les marchands ont lieu à Lyon. Le roi y assure la sécurité des marchandises pendant le transport et donne un sauf-conduit donnant cette possibilité de voyager.
Au 15e siècle, la famille des Médicis implante leurs banques à Lyon. La ville va compter une centaine de banque (alors que Paris n’en a que 60 !). Le taux de change se met en place pour se mettre au diapason avec la monnaie utilisée à Lyon
Lors de ces foires annuelles, c’est entre 5 000 et 6 000 marchands qui font le déplacement. Mais elles subissent un coup d’arrêt avec les Guerres de Religion.

Après cette découverte du quartier du Vieux-Lyon, il est temps d’aller se remplir le ventre pour reprendre des forces. Et cette fois-là, je me suis laissée tenter par les ravioles lyonnaises. En prime, dans le restaurant, nous avons eu un petit lexique pour nous fondre dans la masse lyonnaise et paraître un peu moins touriste 😊


Avant de clore cet article, je vais évoquer deux derniers monuments découverts lors de la première journée du congrès qui a été principalement occupée par les conférences d’introduction. Mais il s’agit de deux très beaux bâtiments : l’Hôtel de Ville et l’Opéra.
Le 4 janvier 1646, le Consulat de Lyon (ce qui équivaut au conseil municipal de nos jours) décide de construire un nouvel Hôtel de Ville. Le 8 mars, il en confie les plans à Simon Maupin, voyer de la ville, qui prend conseil auprès de Lemercier, architecte du Roi, et Gérard Desargues, mathématicien lyonnais.
En 1672, l’édifice est achevé. D’architecture « résolument moderne », il est alors perçu comme une réplique du Louvre à l’échelle de Lyon et reconnu comme le plus bel Hôtel de Ville de France.
Un incendie détruit la plus grande partie du corps de bâtiment et la façade des Terreaux ainsi que le beffroi le 13 septembre 1674. En raison de difficultés financières, ce n’est qu’en 1700 que le Consulat fait entreprendre une restauration.
Il s’adresse à Jules Hardouin-Mansart, architecte du château de Versailles, qui au style baroque de l’édifice ajoute une touche « préclassique » avec une surélévation de la façade des Terreaux, la reconstruction du beffroi, l’incurvation en dôme de la toiture des quatre pavillons d’angle (qui ont été restauré en 2007)
En 1793, le bombardement par les troupes de la Convention crée de nouveaux dommages. Ce n’est qu’en 1850 que des travaux de réparation sont effectués par le préfet Vaisse, tandis qu’une nouvelle salle, en hémicycle, est créée pour le Conseil municipal en 1887. L’Hôtel de Ville est entièrement classé aux Monuments historiques.

Nous sommes arrivés par le grand escalier qui a été construit sur les plans du mathématicien Desargues. Cet escalier mène aux salons du premier étage. Il est peint au 17e siècle par Thomas Blanchet, le décor est une composition colossale en quatre parties ; trois panneaux latéraux et une grande voûte à canne et en grisailles, soulignés de figures, lions et guirlandes.
La voûte est une grande composition allégorique du 17e siècle dont on a donné plusieurs interprétations : la plus répandue est la renaissance de Lyon, passant d’une nuit paradoxalement « obscure » (l’incendie sous Néron en l’an 64) à un soleil éclatant (la reconstruction).
Et le salon qui nous accueilli pour les conférences et le salon Justin Godart. C’est le grand salon d’honneur, cadre privilégié des réceptions depuis les menuets du 17e siècle aux grands bals du Second Empire. Il occupe une surface de 325 m² et est l’œuvre capitale de Thomas Blanchet. La décoration fut détruite lors de l’incendie de 1674. Toutes ses esquisses ont été conservées et se trouvent actuellement au musée des Beaux-arts. Pour sa restauration (entreprise en 1703), Mansart avait proposé une reconstruction en marbre et en pierre. Le projet fut exécuté,après 1717, en menuiserie et toile peinte !
C’est à partir de 1862 que l’on procèdera à la réfection complète de ce salon. L’architecte s’inspira à la fois des décorations 19e siècle et de celles du salon du Consulat.


Et pour ternimer (pour de vrai cette fois ci 😉),parlons de l’Opéra. Il s’agit de l’ancien théâtre néo-classique de 1831,signé par l’architecte Paul Chenavard, avec une façade qui a été restaurée. Le fronton conserve les muses que les impératifs de la symétrie avaient limitées au nombre de huit (excluant Uranie, la muse de l’astronomie). De nos jours, ces muses semblent soutenir l’immense verrière semi-cylindrique, prouesse de l’architecte Jean Nouvel.
Outre le foyer rococo d’origine, l’intérieur abrite, sur 18 niveaux ‘en partie enfouis), un amphithéâtre pour les concerts, une salle à l’italienne de 1 300 places, un studio de ballet et une salle de restaurant sous la verrière.


Et voilà pour le premier article concernant le congrès qui s’est déroulé à Lyon en début d’année
Voici le lien vers le site de l’association des guides conférenciers des Villes et Pays d’Art et d’histoire ANCOVART (si vous souhaitez des informations, vous pouvez envoyer un mail à la fraîchement déléguée régioanle des Hauts-de-France 😉) : https://www.ancovart.fr/
A très vite pour la suite des aventures lyonnaises !
Voici les liens vers les autres articles concernant le congrès
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